28 juin 2008

Pose du parquet cloué de la chambre

Les données de la tâche

La chambre fait 6.2m par 3.2m avec 2 fenêtres côté ouest (grand côté) et une lucarne côté nord. La hauteur sous plafond de l'étage étant faible, les solives sont en partie apparentes et nous devons trouver un revêtement dans les combles qui permette d'isoler phoniquement.

Le choix se porte sur un dallage en OSB22mm, avec des bandes de liège de 4mm intercalées entre panneaux et solives. Ce sera la base du plancher. C'est toutefois assez insuffisant pour l'isolation phonique que nous voulions. L'idée d'une chape sèche a été écartée parce que son prix est plutôt élevée avec les solutions du commerces. Nous voulions de surcroit un beau "sol". Le parquet massif répondait à nos attentes de ce côté là. Et pour avoir une isolation phonique, rien de tel que la pose sur lambourde avec un isolant intercalé.

Quelques liens et infos utiles

Voici quelques liens où j'ai puisé des informations. Leur lecture peut vous être utile.

Achats et préparatifs

Le parquet a été acheté chez l'enchanteur. C'est un sapin, très fragile donc, et plutôt très claire à la base. Les lames font 2050 par 135 mm sur 21mm d'épaisseur. Il a été stocké 8 jours, déballé, dans la pièce où il sera posé.

Les 2-3 jours avant la pose, j'ai vérifié avec une petite station météo et un hygromètre que le bois est dans un bon équilibre. C'est le cas ici avec 12% affiché à l'hygromètre, corrigé à 11% (suivant l'essence du bois, il faut corriger). L'humidité ambiante est à 55% (en tenant à la main, l'affichage est monté légèrement). Un tableau d'équilibre est présenté sur le blog de Boisphile.

Pour les lambourdes, j'ai cherché des 32x80 pendant un moment, sans trouver. Et en cherchant les demi-chevrons qui forment notre sur-epaisseur de charpente/colombage pour l'isolation en ouate, il y avait du 4x6, qui avait déjà passé 6-8 mois à sécher sous abris, et n'avait surtout aucun traitement. C'est donc un lot e 4x6 qui est arrivé, que nous avons débité et qui a séché pendant encore 1 an à l'interieur.

Sous les lambourdes, c'est de la fibre de bois dense en 5 mm d'epaisseur. Rien de plus classique, c'est la meme chose que sous les parquets stratifies. Le but est bien sur de couper les bruits solidiens.
Entre lambourdes, j'ai eu la chance de pouvoir sauter sur des panneaux de fibre de bois de 45kg/m3 à bripodeco. Il y en a rarement, et peu, mais à un tarif correct. Nous pensions initialement mettre de la ouate en vrac, expansée à la perceuse et mélangeur de peinture. C'est long, j'en ai soupé, et en prime l'isolant en vrac n'est pas la solution recommandé entre lambourdes. Alors tant mieux pour ces panneaux.

Pour la fixation, les marteaux de charpentier feront l'affaire (ceux sont des 360gr je crois). Ils sont juste comme il faut : pas trop lourd ce qui sera fatiguant à la longue, pas trop léger ce qui donnerait l'impression de s'exciter pour pas grand chose.
Les clous seront des 2.4x50 à tête plate. Le chasse clou sera un clou de 100mm avec la pointe écrasée. Ca coute rien, et ca présente l'avantage d'avoir une tête large pour l'enfoncement "grossier" et une pointe pour la finition.

Mise en place des sous-couches et isolants

Les panneaux d'OSB 22 sont posés sur les solives, en intercalant un morceau de liège de 4mm. Les solives ont été mises de niveau avec un léger rabotage (parfois quand meme 5 bons millimetres). Les panneaux sont visés avec du 5x60. Les petites rives sont supportés (redécoupe si nécessaire). Les rainures/languettes collés à la colle blanche.

La fibre de bois dense est posé dans le même sens que les lambourdes. J'avais en tête de mettre 45° d'inclinaison pour qu'aucune jonction n'arrive sous une lambourde. Mais en calculant l'entraxe des lambourdes, et en posant les panneaux dans le sens le plus facile, il n'y avait pas de probleme de jonction. Alors si c'est plus simple et sans soucis, autant y aller comme ca

Les panneaux de fibre de bois, coupés en 2 dans la longueur, permettaient un entraxe des lambourdes de 33cms. C'est dans la "marge" possible. Ca permets de minimiser les decoupes. Tant mieux ce n'en sera que plus facile !

Clouage du parquet

Après test rapide, les découpes seront faites à la scie sauteuse, avec une lame à bois "fine", le parquet étant à l'envers. Il reste alors juste un petit ébavurage en sous-face, à faire au papier de verre grain 40-60.

Après mesure de la profondeur de la pièce, les premières lames ne pourront être complètes (sinon j'arrive à une finition entre 2 et 3cms, trop court). La partie "derrière" la sablière sera les fonds de placards. Ils seront faits en OSB. Pour faire la jonction, je choisis de mettre moitié d'une lame de parquet sur les lambourdes, moitié sur la sablière. La découpe ne semble pas compliquée. Mais il va falloir raboter environ 6-7mm du dessous de la lame de parquet pour être à plat entre les 2 supports. Le rabot à main sera le plus efficace et précis dans cet exercice. Ben mine de rien ca crève déjà bien, alors qu'on a pas encore posé de lame.

Ensuite le rythme "de croisière" démarre. Il faut faire attention à ce que les petites rives des lames soient suffisamment écartées. J'ai toujours eu au minimum 40cms, plus que l'entraxe des lambourdes.
Lorsque 2 lames se rejoignent sur une lambourde, il vaut mieux que ces dernieres soient bien larges (80mm me parait un minimum), pour pouvoir placer correctement les clous. Sinon, les languettes risquent de morflées comme c'est arrivé ici. Une seule fois, après j'ai corrigé le tir bien sur, en évitant ces liaisons sur les lambourdes.

Les chasse clous que j'avais ne m'ont pas convaincus. J'ai préféré un clou de 100mm. Ca tient très bien en main. Ca ne coute rien puisque j'en ai encore pas mal. On peut le retourner pour avoir une grosse tête pour l'enfoncage initial. Bref que des avantages.
Chasser les clous permets de matter la lame de parquet. Ca la plaque contre la lambourde. Et dans le cas de bois léger, comme notre sapin, ca élimine toute trace de flambement.

Pour la partie finale, j'ai fait un seul bloc avec une lame pleine et la lame découpée. Assemblage à blanc, puis on glisse la rainure dans la languette de la dernière lame clouée. Un martyre permets de mettre en place le tout, avec un léger jeu toujours. Cette dernière lame à été vissée (vis de 4.5x45) sur les lambourdes.

Pour les 20m2 de cette pièce, j'ai travaillé 9h30. Les découpes initiales avec le rabottage m'ont bouffé pas mal de temps. Seul, je me suis économisé : quand je me tapais sur les doigts ou le parquet, j'arretais. Les genoux et le bas du dos morflent bien. Comme d'habitude, le travail à 2 doit être beaucoup moins usant et plus rapide. Enfin, la pose sous rampant n'aide pas trop à soulager ses guibolles et le dos.

Quelques autres photos en vrac, pour le passage de porte, montrant un peu l'evolution de la pose, la présentaiton du dernier bloc de lames.

La mezzanine est finie ! Ouf et merci a Ludo et Joe ! Même si ce dernier a eu la mauvaise idée de venir avec ses pompes magiques "je laisse ma trace partout sur le parquet". Heureusement au poncage, toute cette gomme partira. J'ai eu droit aussi à une coupeuse de parquet de luxe cette fois, elle n'etait pas en chine.

Poncage du parquet

Traitement du parquet

Traitement en sous-face pour les parquet qui flambe. Pas fait ici. Sera surement fait pour la mezzannine (meme parquet, mais posé plus tard).

Finitions

27 juin 2008

Quelques liens qu'on aime bien

Coucou !

Bon pendant que certaines s'offrent des saunas en plein air a l'autre bout de la planete, moi je fous rien. Qui a dit "comme d'hab" au fond la-bas ? (et qui me connait donc bien).

Tiens, un petit ticket pour regrouper les sites que j'aime bien visiter ou garder sous la main, dès fois que ca serve un jour. Pour l'instant ca sera surement en vrac en attendant d'être trié un jour (peut-etre)

forum-construire.net
Pleins d'infos et de vecus sur la construction, et une rubrique entraides/autoconstruction maintenant
cyberbricoleur.com
Les forums de Système D, notamment les posts sur la chaux dans la section Gros Oeuvre

Le Djoliba
De la ouate, des beaux carreaux, de la bonne humeur
Une Maison à Estrennes
Du beton de chanvre, et dans les Vosges : la vie est belle quoi !
La Linotte
La superbe realisation de la Pulligny-familly avec pleins de données sur le puit canadien et du chauffage solaire combiné
Et pisé beau
Renovation d'une maison en pisé, à coup de matériaux naturels et de recup
Du bois et de la paille
Un beau projet d'autoconstruction en bois isolé avec de la paille. Et surtout la fabrication soit-même du parquet (en frene : trop beau !), des fenetres, etc.
Le Bief
Le projet de fous, d'une rénovation de folie, pour enfin vivre en dehors de la furie ambiante
Une Dalle en terre
Une intéressante maison en paille qui se monte. La dalle en terre, surmontée d'une dalle en chaux est intéressante. Des drains/évacuations ne seraient peut-être pas superflux si la dalle est au sol.
Un Nid a eux
Nous c'est un premier rêve (qui s'allonge sans fin ...), eux c'est un Nid qu'ils retapent : dans la joie et la bonne humeur (dire qu'on aime faire tomber 55m2 de lambris, faut être maso !)
Soours Wiki
Liste de blogs d'ecoconstruction, majoritairement autour de la paille
Les Pailloux
La maison des Pailloux : un lien pour pas que j'oublie d'aller voir l'avancement et voir comment l'histoire va bien se finir. J'ai mis du temps a les referencer, mais c'est fait.


Un peu de permeance sur les enduits a la chaux
Rahhh faut que je relise ca a tete reposée ! Il y a pas mal d'informations itneressantes, notamment les resultats de St Astier avec des mesure faites avec du ciment qui batarde la chaux
Le blog de BoisPhil
Beaucoup d'informations techniques sur l'utilisation du bois dans l'habitat : solivage, plancher, parquets. Un MUST !


L'Hôtel du Chateau d'Andlau
Un cadre superbe, des chambres de très bon goût, une cuisine et une carte des vins tout comme il faut pour égayer les papilles. Quoi de mieux pour récupérer entre 2 montages de murs !
Trentenaire, marié, 2 enfants
Ce que j'arrive à éviter pour l'instant ...
Ah ! Monstres oplantes ? gniars ? nan ! Grumeaux !!

10 juin 2008

Et vous, vous faites quoi le dimanche ?

Ben nous on "recoit". On fait visiter les ruines. Les visiteurs repartent heureux, comme le prouve la photo, avec un bout de cailloux "du vrai de la maison la-bas".

Bon et dès qu'ils sont reparti, l'Esclavagiste reprends se droits et je mets ma femme au taf pour finir la pièce "Gros Moral". C'est LA pièce, notre chambre, celle où on passe au moins 1h tous les 2 jours pour la faire avancer. Ca nous permets d'avoir une pièce qui se termine, de voir quelque chose avancer au milieu de tout ce qu'il reste a faire.
On teste aussi : peinture trop diluée, attention pour la deuxième couche, tiens faut prévoir d'acheter ceci, de poser cela. Et le tout sera de toutes facons répercuté sur les autres pièces de la maison, donc c'est vraiment intéressant et de toutes facons il faut passer par là.

On a donc poncé. Out les cales à main qui nous tuent les épaules en moins de 2. Vive la ponceuse vibrante ! Le fermacell est bien costaud et on peut poser les ponceuses sans risque. Le papier utilisé est du 120 pour la première passe, du 220 ensuite.
On rebouche les trous. On attends le lendemain, et on ponce ou reponce ou re-reponce ou ... Argh nan ! 2 enduits, 3 poncages ca suffit et basta ! Joints a l'acrylique pour toutes les jonctions (plafond/mur, mur/sol).
La sous-couche est donc une solution d'acrylique, de l'acrylate vinylique dans de l'eau. Rien d'opacifiant ou quoique ce soit dans ce style. Juste bon pour faire "boire" le fermacell.
C'est la peinture qui opacifie. La première couche est diluée a 10%. 2 couches prévues. On va essayer sans egrener entre les couches, tout du moins pour la peinture mat. Pour la satinée (cuisine et salle de bain) on egrenera. La peinture et la sous-couche viennent d'allemange, à 0 COV ou au max 1g/l. De toutes facons, c'est difficile de trouver de la peinture à plus de 1g/l de COV ... tout l'inverse de la France.

La bouche de transfert phonique

Lorsqu'on ventile une habitation, il faut que l'air puisse passer d'une pièce à une autre. Mais ce serait tout de même stupide de détalonner les portes, alors qu'on fait des cloisons à double peau pour l'isolation phonique. Aidé par quelques schémas dans l'Isolation Phonique Ecologique, ainsi que les plans de quelques bouches de transfert, j'ai décidé de fabriquer mes propres bouches de transfert phonique.

Le cadre est fait de MDF de 5mm. L'assemblage est réalisé avec des clous de 15mm mis à l'agrafeuse. Le tapissage interieur est fait de fibre de bois issue de panneaux Kronotherm FG en 45kg/m3 de densité, bien fibreux. Pour tenir ce tapissage, un filet de moustiquaire est posé. On notera que le filet est enlevage, retenu uniquement par la bande d'accroche fournit avec à l'achat (4€50 en GSB la moustiquaire). La boite de transfert est refermée par 2 grilles en aluminium, vendues hors de prix en GSB. Mais je n'avais pas le temps de chercher une autre source de distribution.

La mise en place est triviale ... si bien sur on excepte la grosse heure a découpé et raper le fermacell, ici en bonne épaisseur (22.5 d'un côté, 25mm de l'autre) pour pouvoir glisser la boîte comme il faut.
Les dimensions des grilles, ainsi que l'espace occupé par la fibre de bois, ont été calculés pour permettre le passage jusqu'a 30m3/h à une vitesse inférieure a 2m/s. Ici ceux sont des grilles de 300x80mm, passage intérieur de 280x66mm, avec 10 à 12mm de fibre de bois en haut et bas de la boîte.
Les grilles étant amovibles, je pourrais toujours ajouter une chicane transversale si le besoin s'en faisait sentir. Des "tests" qui n'ont rien de scientifiques semblent tout de même prometteurs : en parlant à côté et devant la boîte à 2m. de distance, la voix est franchement atténuée, sourde. Peut-etre quelques mesures plus tard ... quand tout le reste sera fini dans la maison.
Coût de réalisation à environ 20€ dont une grosse partie pour les grilles (qu'on trouve moins cher chez bricohomme que castobaba)

09 juin 2008

Et la grange part en couille

On savait que la grange, juste à côté de la maisonnette, n'était pas en bon état. Initialement on pensait la rénover. Rapidement les plans étaient plutôt de démonter, récupérer les vieux bois potables et reconstruire quelque chose avec.
Les choses se sont un peu accélérées avec l'hiver déjà passé et quelques coups de vent. Le charpentier est passé et nous a bien alarmé : un pet est ca bascule. Et forcement ca bascule par bien parce que sur la maison qu'on a pas encore fini de retaper.
La sablière est abimée en 2 endroits. D'ailleurs sur la gauche, c'est pas abimé, c'est carrément brisé, défoncé, plus joint quoi.

Alors à l'attaque !
Le charpentier pourra passer cette semaine. Il a du taf (tant mieux pour lui !). Il nous a quand même dit ce qu'il ferait. Il y a notamment une partie de maintien avec des élingues.
Après quelques recherches et coups de fils, Gaëlle nous trouve ProLev, à Rosheim, jsute à côté de chez nous. Le gars est super sympa et après une petite heure de discussion, je repars avec tout le matos pour faire ma mise en place d'élingues.
Enfin presque tout. Il me faut quand meme les points d'ancrage. Direction la quincaillerie pour amener de la grosse cheville a frapper et les forets a beton qui vont bien. Le 16mm, avec une tete a 3 lames est une merveille : ca rentre tout seul, enfin presque.

Après 2h15 d'effort, les trous dans le mur de souténement de l'autre côté de la sablière qui part en vrac sont percés. Les goujons mis en place, les anneaux d'ancrage aussi. Gaëlle m'aide à la mise en place des élingues de 10mm en acier. Quelques tours sur les tendeurs et nous voila déjà rassurés.
Il faudra que je fasse une remise en tension des élingues avant le passage du charpentier. C'est un peu détendu la, parce que je n'avais pas assez forcé la première fois.
Ensuite, le charpentier nous rajoutera un étais a l'exterieur. Il devrait pas mal nous géner pour accéder à la cave. Mais il devrait surtout éviter qu'on prenne la grange sur le coin du nez. Alors l'un dans l'autre, on prefere faire des detours que tout prendre sur le rable.
Dès que la maisonnette est finie, il faudra qu'on s'attèle a "soulager" le poids qui risque de s'écrouler ... avant de faire mieux peut-etre.

L'escalier des combles est en place

Les combles ne sont encore pas finis. Mais ca avance. L'escalier lui est arrivé courant mai. En bouleau nordique, avec un seul limon et une rambarde suspendue. La premiere marche est biaisée pour permettre un accés plus facile (bravo Gaëlle !). Le limon, huilé, est teinté "pétant" pour faire ressortir l'ensemble.

Avant la pose proprement dite, nous avons préparé les murs, jusqu'a la premiere couche de peinture. Ce fut arrassant. C'est la qu'on a compris qu'on ferait pas tous les poncages a la main. Une girafe ou une autre solution devait être envisagée.

Les poseurs ont fait du super travail. Dans la matinée c'etait en place. Bon y'a du bon matos et un bon coup de main aussi. Mais ils etaient quand meme jaloux de ma tronneuse, une Dolmar electrique, qui les a aidé un petit peu (recoup de 5mm du bout d'une solive).

Encore la mezzanine a finir de peindre et on pourra imaginer enlever les protections des marches. Il faut faire vite pour ne pas voir de marques du a la difference de prise de lumière.

Doumi on track !

Les amis, ca se compte sur les doigts de la main quand on en ch*e au chantier. Mais meme quand ils sont loin, certains viennent se promener. Ainsi, le premier week-end d'avril, Doumi est venu nous filer un coup de main. Chapeau bas ... apres 7h de train !

Petit tour du proprietaire, notamment du poele a bois. Et puis on parle de ce qu'on va faire au chantier. Et on passe suite a la pratique preferee du week-end ... bouffer !!
Une winstub, une choucroute de poisson (ma 1ere, mais pas assez reussie a mon gout), un petit tour dans une cave a vin a degustation, promenade vite fait entre 2 gouttes d'eau.

Bon mais c'est pas tout ca mais faut bosser aussi ! On en a profiter pour fixer les plafonds : a 3, dont 2 bonhommes pour tenir les plaques, c'est plus facile. Un peu de tuyau de ventilation de trucs par ci et par la ... et on retourne bouffer et boire de la bière !
Mais nan Doumi : je ne plaisantais pas lorsque je disais que j'allais en rouvrir une en jouant a Didi.

Bon il est pas reparti les mains vides quand meme. L'etait meme plutot bien lourd le sac et heureusement qu'il y avait des roulettes.

Dès que la maison est fini, on s'invite dans ses montagnes !
Preuve que l'Azor a aimé son passage, 2-3 semaines plus tard il revenait, detour professionnel cette fois. On a repratique l'activité préférée : Maison Kammerzell avec choucroute et une bonne bouteille de Klevner d'Heiligenstein.